Edit
Read More
iggybook
Face à la mort
Mai 1945, Erich Altmann a quarante-et-un ans. Il a survécu …
Survécu à trente-trois mois dans l’enfer concentrationnaire nazi. Il y eut d’abord l’incompréhension, l’incertitude, puis l’anxiété, la peur, jusqu’à la terreur. L’horreur s’est ensuite installée avec son cortège de douleurs et d’afflictions : la faim, la maladie, l’harassement, la perte d’humanité, la mort omniprésente. L’inimaginable, l’indicible. Reste, irrépressible, cette farouche volonté de vivre pour ne pas partir en fumée et pouvoir témoigner aux yeux du monde « hors des camps ». C’est cette force qui a permis à Erich Altmann de survivre à Auschwitz-Birkenau, Buchenwald, Oranienburg et à deux « marches de la mort ».
| Publisher : | Editions Le Manuscrit | Language : | French |
|---|---|---|---|
| Genre : | Biographies & Memoirs | Release : | December 14, 2007 |
| Sub-genre : | Autobiography | Collection : | Témoignages de la Shoah |
Available here:
Available here:
7.90 €
Biography
Erich Altmann
Il a acquis au cours de sa vie une remarquable connaissance de la musique classique et la littérature allemande avait peu de secrets pour lui.
Difficile à vivre, il avait néanmoins une faculté étonnante pour réunir les gens autour de lui.
Il a notamment largement contribué à la réussite des rencontres régulières des anciens déportés de Bobrek (dont Mme Simone Veil).
Il avait pris l’habitude de fêter tous les cinq ans un anniversaire « spécial » dans un restaurant de la place Bellecour à Lyon où il conviait ses amis fidèles.
L’été, il recevait assez régulièrement tous ses compagnons d’infortune dans une résidence secondaire à Boulouris, près de Saint-Raphaël.
Il avait toujours une bonne histoire à raconter, et ses rencontres étaient toujours assorties d’événements pittoresque
Read More
Difficile à vivre, il avait néanmoins une faculté étonnante pour réunir les gens autour de lui.
Il a notamment largement contribué à la réussite des rencontres régulières des anciens déportés de Bobrek (dont Mme Simone Veil).
Il avait pris l’habitude de fêter tous les cinq ans un anniversaire « spécial » dans un restaurant de la place Bellecour à Lyon où il conviait ses amis fidèles.
L’été, il recevait assez régulièrement tous ses compagnons d’infortune dans une résidence secondaire à Boulouris, près de Saint-Raphaël.
Il avait toujours une bonne histoire à raconter, et ses rencontres étaient toujours assorties d’événements pittoresque